La Charte de déontologie de Munich

ou Déclaration des devoirs et des droits des journalistes

Est signée le 24 novembre 1971 à Munich par Allemagne, Belgique, Italie, Luxembourg et Pays-Bas et adoptée par la Fédération européenne des journalistes, est une référence européenne concernant la déontologie du journalisme, en distinguant dix devoirs et cinq droits.

Les dix devoirs de la charte :

  • Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
  • Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique.
  • Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents.
  • Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents.
  • S’obliger à respecter la vie privée des personnes.
  • Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte.
  • Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement.
  • S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information.
  • Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.
  • Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.

Les cinq droits de la charte :

  • Les journalistes revendiquent le libre accès à toutes les sources d’information et le droit d'enquêter librement sur tous les faits qui conditionnent la vie publique. Le secret des affaires publiques ou privées ne peut en ce cas être opposé au journaliste que par exception en vertu de motifs clairement exprimés.
  • Le journaliste a le droit de refuser toute subordination qui serait contraire à la ligne générale de son entreprise, telle qu'elle est déterminée par écrit dans son contrat d'engagement, de même que toute subordination qui ne serait pas clairement impliquée par cette ligne générale.
  • Le journaliste ne peut être contraint à accomplir un acte professionnel ou à exprimer une opinion qui serait contraire à sa conviction ou sa conscience.
  • L'équipe rédactionnelle doit être obligatoirement informée de toute décision importante de nature à affecter la vie de l’entreprise. Elle doit être au moins consultée, avant décision définitive, sur toute mesure intéressant la composition de la rédaction : embauche, licenciement, mutation et promotion de journaliste.
  • En considération de sa fonction et de ses responsabilités, le journaliste a droit non seulement au bénéfice des conventions collectives, mais aussi à un contrat personnel assurant sa sécurité matérielle et morale ainsi qu’une rémunération correspondant au rôle social qui est le sien et suffisante pour garantir son indépendance économique.

Nos enfants ne peuvent pas être les cobayes de l’industrie pharmaceutique.

grappe

Communiqué de presse du 18 mai 2021

La campagne de promotion d’une vaccination généralisée contre la Covid-19 s’intensifie au prix de la plus élémentaire prudence quant à ses conséquences potentielles pour la santé publique.
Les messages insistants favorables à la vaccination des enfants se multiplient. Ainsi on apprend que l’Ordre des médecins d’Allemagne préconise la vaccination obligatoire pour les enfants à partir de la crèche dès la rentrée scolaire 2021-2022.

Nous estimons qu’il est temps de lancer un appel à la raison aux Autorités de Santé belges et au gouvernement.

Rappelons tout d’abord que les vaccins actuellement administrés aux adultes sont des vaccins expérimentaux pour lesquels les essais cliniques de phase 3 sont en cours. C’est ce qui explique que ces vaccins ne bénéficient à ce jour que d’une autorisation provisoire de mise sur le marché. Autrement dit, tous ceux qui se font vacciner aujourd’hui participent pour la plupart sans en être conscients à une campagne d’essais de niveau mondial.

La réalité d’aujourd’hui est que de nombreuses questions restent sans réponse scientifiquement étayée quant à l’innocuité, l’efficacité et même l’utilité de la vaccination anti-covid telle qu’elle est d’ores et déjà massivement pratiquée.

Vaccins pandémiques: que nous révèlent les documents européens

 

1. L’efficacité de ces vaccins n’est pas prouvée.

2. La sécurité de ces vaccins n’est pas établie.

3. Il existe peu d’informations sur ces vaccins.

 

ET POURTANT….

 

4. Les fabricants et les professionnels de santé ne peuvent pas être rendus responsables sur le plan civil et administratif pour les conséquences qui peuvent résulter de l’usage du vaccin : IMMUNITE JURIDIQUE * !

Les vrais enjeux de l’ « événement Covid-19 »

Nous bénéficions maintenant d’assez de recul pour saisir les vrais enjeux de l’ « événement Covid-19 » et esquisser le récit le plus vraisemblable, c’est-à-dire le plus cohérent et le plus raisonnable. Comprenons bien qu’il ne s’agit pas de prétendre détenir la vérité sur un événement possédant autant de facettes créées par de si nombreux d’acteurs, possiblement à leurs corps défendant. Il suffira de suivre les enseignements du sens commun et de procéder du plus évident au plus caché — étant entendu qu’en prenant en compte les leçons de l’histoire, des évidences secondes se manifestent, et que la pratique de la synthèse philosophique nous offre de tierces évidences.

Soulignons dès l’abord le caractère global et systémique de la crise de 2020 : la crise sanitaire est non seulement accompagnée d’une crise de légitimité des gouvernements ; elle est aussi contemporaine d’une crise financière (le krach boursier de février–avril 2020), et d’une crise énergétique (la guerre des prix du pétrole entre l’Arabie saoudite et la Russie aboutit, le 20 avril 2020, à un prix du baril négatif) ; la crise économique, au sens strict (qui hésitera entre dépression et récession ), est encore à venir.